Cela fait un moment que je n'ais pas fait d'hivernale en Espagne. Pourquoi ne pas me rendre au nouveau rassemblement organisé par Marino et son équipe.

 
                                                                                                                                       
  MERCREDI 11 JANVIER 2017
Dring, 5h30, je quitte mon cocon douillet. Il faut que je franchisse le tunnel de Fourvière avant 7 heures, car après? Galère. Une p'tite douche, un copieux p'tit dèj et me voilà parti sur les routes de France et de Navarre. Déjà beaucoup de travailleurs à la Garde, porte de Lyon entrée nord de la métropole. Passage aisé du tube, bord du Rhône, vallée de la Chimie, Vienne, Condrieu et ses coteaux hébergeant des vignes dont le produit est tout simplement sublime! Péage de St Quentin Fallavier, Tain l'hermitage et son cru renommé, Valence, Loriol, Montélimar, pas le temps de déguster le fameux nougat. Bollène, arrêt sur l'aire de Mornas. Ravitaillement de la bête, pause café/cigarettes pour le dompteur! Echange de sms avec la fiancée et la vie reprend son cour. Orange, bifurcation sur l'A9, franchissement du fleuve roi, Remoulins et au loin le Pont du Gard perdu dans les monts Cévenoles. Nîmes, travaux de détournement vers Montpellier. 90 kms/h sur une vingtaine de kils. Béziers, Narbonne et leurs  cathédrales. J'emprunte l'autoroute d'entre deux mers. Pause sur l'aire qui accueille les miradors du Péch-Loubat, représentation moderne des Chevaliers Cathares. Je contemple la mer et le mont Canigou. Le vignoble des Corbières, Lézignan Corbières, il est midi et la faim commence à se faire sentir. L'aire de Carcassonne me tends les bras. Quelques clichés de la Cité et je découvre les mets que m'a préparé ma fiancée. Bien, il est temps de quitter la 2X2 voies. Fanjeaux, Mirepoix, Pamiers et je me retrouve à la Grotte du Mas d'Azil, passage naturel sous la montagne. A découvrir absolument. St Girons, je rejoins la D817 à St Martory. St Gaudens, le plateau de Lannemezan. Je suis obliger d'emprunter l'autoroute gratuite car l'état a dessiner le tracé sur l'ancienne nationale. Traversée difficile de Tarbes sans rendre visite à l'ami Jacques. Et enfin la plaine Paloise, Pau, comme d'hab: Je m'égare et me retrouve devant un plan de ville, toujours le même. Voyons, où c'est qu'il loge le Camillou? Enfin, salut les copaings. Dame Lina et mon ami m'offre le gite pour la soirée. Allons ranger l'attelage dans la cour du voisin avant d'attaquer les hostilités. Un coup de téléphone à ma fiancée pour l'informer de la situation. Quelques Ricard plus loin, Popaul et Sylvie nous rejoignent afin de déguster les mets cuisinés par notre hôtesse. Après quelques charcutailles locales, le lapin nous réjouis les papilles avec des pommes de terre, une salade verte pour le transit. Un morceau de fromage, la galette et une Pranuline du Beaujolais arrosées du vin blanc du bon roi Henry: Le Jurancon. Un Cognac et c'est repu que je rejoins ma couche.
 
         
                                                                                                                                          
  JEUDI 12 JANVIER 2017
     7heures, j'ai bien dormi dans la chambre d'ami de Camillou et Lina. Je l'ai emprunté pour une nuit à leur petite fille. Une bonne douche et me voila prêt à déjeuner avec mon ami qui a déjà bu son café au club de remise en forme. Lui ne fréquente que le bar avec de nombreux amis du cru. Il est temps de se mettre en selle. Au revoir les Palois. Un petit tour dans la ville du bon roy Henry. Le temps de prendre quelques clichés depuis le boulevard des Pyrénées qui domine le Gave. Traversée du vignoble Jurançonnais. Tiens, une nouvelle déviation de la ville d'Oloron Sainte Marie. Il est vrai que le franchissement était un peu hard. Humm! Cela sent toujours aussi bon le chocolat des fameux "Pyrénéens" de Lindt. La route a bien changer, depuis mon premier passage en 1997, dans la vallée d'Aspe. Tunnel du Somport? Choix de l'itinéraire ardu! Finalement le col au milieu des sapinières. Quelques plaques de verglas, je suis en sidecar, mais gaffe quand même. Sont balaises les engins de déneigement par ici! Il est vrai que nous sommes à 1640 mètres d'altitude quand même. Descente sur Jaca par une magnifique route serpentant au milieu de la garrigue. Le paysage a changer de ce coté de la chaîne. Puente la Reina de Jaca, ils ont fait de nouvelles déviations, mais je préfère emprunter l'ancien tracé de la RN240 qui virole en longeant le lac. Des villages abandonnés dominent le paysage désertique. Yesa, afin d'éviter Irunea/Pamplona, je prends la direction de Sanguesa. Une usine, non loin, attire mon attention: C'est une fabrique d'ailes pour éoliennes. Un convoi exceptionnel vient d'être constituer, c'est impressionnant. Mais, vu les routes qu'ils possèdent maintenant avec l'aide de l'Europe, ce n'est pas un  problème. Je m'arrête à San Martin de Unx, joli petit village aux pierres dorées qui domine son vignoble. Sniff! ça me fait penser à mon lointain Pays Beaujolais. Je rejoins la grand route à Tafalla. Olite, Caparroso, encore des contrées désertiques, pas beaucoup de villages dans ce coin. Quoique, la plupart du centre de l'Espagne ressemble à cela. Castejon, Cintruenigo, Valverde, Agreda, Matalabreras, enfin une agglomération: Soria. Puis, à nouveau la pampa, Calatanazor, El Burgo de Osma, St Esteban de Gormaz, Avilon, tiens 2 sides sont derrière moi lorsque je franchis le pont à sens unique, réguler par des feux tricolores. Cerezo de Abajo, le voyage tire à sa fin. Je suis à une soixantaine de bornes de Segovia et trente kils de Cantaluejo, objectif de mon voyage. Le soleil se couche sur les collines environnantes dans des couleurs mordorées. Le rassemblement se situe dans la pinède/ terrains de sports à l'entrée de la bourgade. A peine le temps de descendre de la mob, que Michel et Anne Marie (correspondants Français de la manifestation) m'accueilles avec un large sourire. Je vais m'inscrire lorsqu'arrive Henri le belge accompagné de son compatriote Marc et Pascal, viticulteur dans le Gard. C'est eux qui se trouvait derrière moi aux feux. C'est pas le tout, il faut installer le campement, surtout pas trop loin du centre des festivités afin d'économiser mes pauvres jambes. Cani de Pau a déjà planter sa tente lorsque nous le rejoignons par hasard. Allez, il faut penser à se restaurer! Après avoir parcouru la Grand Rue, nous revenons sur nos pas et trouvons une auberge sympathique. Salade composée, une belle assiette comprenant 2 oeufs au plat et un steack accompagné de frites! Un p'tit dessert le tout arrosé de cerveza: La vie est belle pour nous pauvres motards. Si on allait boire un coup à une des buvettes de la fiesta? Pas grand monde ce soir. Mais la bierra est bonne. Allez, au lit!
 
 
VENDREDI 13 JANVIER 2017
Jour de chance? M'en fous, je joue pas. Installons la table pendant que mes amis vont chercher du bois avec la remorque du Sidebike. Petit d'jeuner façon Henri le Belge: 2 oeufs au plat sur une tranche de lard. Ca me rappelles quelque chose: La fameuse ventrêche matinale de l'ami Camillou? Savent manger les Francophones. Ce matin, balade avec Cani, nous croisons Jules accompagné du Lynx avec sa fidèle R1200GS et Nono sur sa Transalp. Nous sommes dans la mauvaise direction, demi tour afin de rejoindre San Pedro de Caillos où nous attendent les GO pour nous offrir la traditionnelle soupe aux haricots. Une escouade de 1100XS occupe la place du village ( nostalgie, quand tu nous tiens). Une jolie femme habiller légèrement pour la saison se fait prendre en photo avec qui veut bien. Je me laisse tenter. Elle est vraiment belle. Mince, c'est la 1° dame du village. J'voterais bien pour elle et plus si affinités! Aller, laisse tomber, c'est pas pour toi, cette plantureuse damoiselle! Retour à la concentre, nos amis sont prêts à aller manger. Rejoignons le centre ville où un estaminet nous ouvre grand ses portes. Nous sommes 4 autour de la tablée pour déguster les mets locaux, arrosés de Vino Tinto bien sur! Jules a toujours bon appétit, le Lynx me surprend à manger comme ceci, Nono a aussi un bon coup de fourchette, quant à moi: Sans commentaire, j'ai tout le temps faim! L'après midi est déjà bien avancer lorsque nous rejoignons le centre festif du rassemblement. Halte là, halte là, les Savoyards sont là! Philippe, Elio et son beau frère Jacques, Louis viennent d'arriver. Sur le parcours, tiens, je le connais celui là? C'est un ami Italien, connu à la concentre de l'Airone non loin de Cuneo. Il est venu avec son épouse. Il a participer plusieurs fois, avec ses amis, au MOB. Cela rappelle des souvenirs à Henri le Belge. Et nous nous rendons compte que nous avions bavardés dans une cave Italienne, il y a quelques années. Un groupe de musique a pris possession de la scène lorsque nous faisons quelques emplettes à la boutique de souvenirs. Nous croisons Jacques de Tarbes en compagnie de Christian, le cuistot de l'Immortelle, et d'autres gars du Sud Ouest. Ils campent à coté du Gus de Limoges: Quelle grande famille! Bien, c'est l'heure du Ricard! Allons rejoindre le feu de camp. Michel et Anne Marie nous rejoignent afin de nous inviter à festoyer avec eux dans un restaurant de la contrée. Je suis fatigué et ne vais pas avec eux. Jules, Bernard un ami Parisien de Jules,le Lynx et Nono sont plus vigoureux. Et c'est d'un pas alerte qu'il me laisse à mon triste destin. Ah, Ah, mais je ne suis pas seul, Henri, Marc, Pascal, Cani et les Savoyards partagerons le reste de la soirée avec moi.
 
 
SAMEDI 14 JANVIER 2017
       Oh la, y a des cadavres dans le coin, on a picoler quand même. Une petite place sur la table pour déjeuner, merci. La bête du Gévaudan (le Lynx) a fait fort hier. Il s'est écrouler au restaurant et Jules peste contre cet état de fait! C'est la fatigue de la route. Lui aussi a fait fort à la buvette avec Pascal. Mais bon, il fait 1.98 pour 120 kilos alors que la bête c'est 1.60 pour 50 kgs tout mouillé! Si on allait faire les courses au Carrefour Marquet du coin? Aussitôt dit, aussitôt fait. Nous achetons à manger pour un régiment, y aura des restes! L'heure est venu de partir en balade. J'emmène Nono. Bernard nous accompagne. Cette fois, le lieu de rendez vous est à Sepulveda. Village fortifié sur une colline à cheval sur 2 vallées. Les vautours tournent au dessus des falaises. On s'apprêterait à voir John Wayne surgir sur son fidèle destrier en compagnie de son armée de mercenaires! Nous retrouvons Michel et Anne Marie, Henri, Marc et Pascal. De jolis motos d'une autre époque composent le parking dont une magnifique BMW K100RS de 1984 avec seulement 27.000 kms au compteur. On la croirait sortie d'usine. Un beau mono Ducati, d'origine Espagnole je pense. Un papy effectue des allers retour dans les rues du village au guidon de son Solex. Au pied du village, sur une esplanade, se déroule une démonstration de stunt. L'heure est encore venue de se restaurer, mais avant, dégustons quelques bibines en compagnie des mes amis. Michel et Anne Marie sont obligés de nous quitter. Ils nous conseille de découvrir une spécialité de la région: Le Ternasco: Agneau de lait roti dont nous apprécieront le gigot. Dommage, nous n'avons pas eu le temps de découvrir le Cochinillo: Cochon de lait roti. Bon, faut que je trouves du tabac? Pas un bureau dans le coin, il est vrai que les cigarettes sont en vente dans les bars. Mais le tabac, que nenni! Tant pis, on va boire un coup avec Nono. Ce soir, c'est l'Apéro des Français organiser par Michel et Anne Marie. Nous retrouvons pas mal de connaissance de France et surtout de Navarre. Les différentes spécialités culinaires circulent ainsi que les boissons rafraichissantes. Enfin, rafraichissantes, plutôt alcoolisées. Et la fiesta continue, les groupes de musicos diffusent des sons plus ou moins justes tout au long de la soirée. Il n'y a que la cerveza qui ne change pas de gout. Enfin, c'est repu que je rejoins ma couche.
 
 
DIMANCHE 15 JANVIER 2017
J'ai bien dormi, enfin si l'on veut au bout de 3 nuits sous la tente à 0°C. Le moment est venu de plier le campement, tout remettre dans le panier. Heureusement que je l'ai! Jules et le Lynx ainsi que les Savoyards ont déjà déserté le lieu. Reste Henri, Marc et Pascal qui n'a pas l'air pressé de se lever. 9 heures, nous quittons le campement avec Nono, non sans avoir fait quelques photos devant l'entrée! Au bout de quelques kils de départementales, nous empruntons la 4 voies. Boceguillas, Honrubia de la Cuesta, Aranda de Duero, Gumiel de Hizan, Lerma, les bornes s'enchainent et enfin Burgos. Nous reprenons la nationale menant à Gasteiz/Vitoria en passant par Rubena, Monasterio de Rodilla, Briviesca, Pancorbo, Miranda de Ebro. Puis, toujours la N1 , Salvatierra Augurain, Olazti, Altsasu, un petit arrêt afin de manger une partie des restes des achats au supermarket de Cantalejo. Le ciel commence à se couvrir, j'enfile la tenue adéquate, nous attaquons la montagne, pas de neige au col où j'avais dormi, il y a quelques années avec mes copains Auvergnats et du Grand Ouest. Descente périlleuse sur Beasain, pourtant la 4 voies est belle. Dire que je l'ai vue en construction. L'ancienne route était beaucoup plus délicate à parcourir. Tolosa, Villabona, Andoain, Lasarte et enfin Donostia/St Sebastian où je perds Nono (il me contactera plus tard en me disant qu'il s'était égaré). Halte dans une station. Je taille la bavette avec 2 gars de Roanne. Bayonne, au parking du péage, je fais une halte prolongée. Camillou m'avait bien proposer de refaire une étape à Pau, mais je veux, à tout prix, voir mon ami Gazou. Tarbes, Lannemezan, "sortie 14, risque de neige" m'indique un panneau lumineux. Je sors quand même. Je suis trempé jusqu'au os. St Gaudens, je bifurque à St Martory sur St Girons. Oh là! Ca se complique à la Bastide de Serou, la neige fait son apparition sur la route, sortie du village, à nouveau le ruban bleu. Puis un peu plus loin, encore un épisode neigeux qui dure quelques kilomètres. Descente sur Foix. 4 voies jusqu'à Tarascon sur Ariège, un nouveau panneau m'indique: "épisode neigeux à Ussat les Bains". Effectivement, à la sortie d'un rond point, le manteau blanc recouvre la chaussée. Allez, courage! Il reste 20 bornes à faire. Enfin Vèbres, la montée au village va être périlleuse. Je franchis le pont sur l'Ariège et attaque la cote. Mince, l'anti patinage entre en action et je ne me rappelle plus comment le supprimer. Heureusement, le pneu neige raccroche et c'est sans problème que je retrouve mon ami dans sa chaumière. Ermite avec son chien, sa compagne l'ayant délaisser (temporairement) pour d'autres cieux. Il est 8H30 et il ne s'attendait plus à me voir. Allons vite garer l'attellage. Enfin vite, plutôt difficilement vu les conditions météorologiques. Rentrons vite au chaud, non sans avoir sorti les victuailles du coffre. Après avoir enfiler une tenue civile, j'appelle ma fiancée pour la rassurer. Elle a ameutée tout le sud ouest sur les réseaux sociaux, s'inquiétant de mon état de santé. Il faut dire que j'étais en panne de batterie de mon 06 depuis la fin de matinée. Ah! C'est beau l'Amour, mais c'est bon aussi! Je suis naze mais bien en vie. Un ch'tiot Ricard, Matou? Pas de refus après ces émotions. Je ne t'accompagne pas, j'ai déjà trop manger. Mais, je vais te préparer l'andouillette Beaujolaise que tu as apporter. Humm! Ca fait du bien par où ça passe, comme on dit. Surtout avec la sauce que j'avais préparer. L'aurait des talents culinaires l'Matou? J'sais pas, p'têtre, faudrait que je persévère. Une bonne bouteille de Beaujolais plus tard, je retrouve, enfin, un bon lit après cette journée éprouvante! 
 

 LUNDI 16 JANVIER 2017
J'ai très bien dormi jusqu'à 9 heures. Petit dèj, les gants n'ont pas sécher malgré la soufflerie d'air chaud du module de la pompe à chaleur. Mais le portable est bien charger. La neige a cesser de tomber et le chemin en bas de la maison dégager. N'empêches qu'une couche d'au moins 15 centimètres recouvre le sidecar. Si on veut se revoir, faut qu'on s'quitte. Salut Gazou, rentre au chaud avec ton chien. Pas tout de suite, car l'animal, comme d'hab, m'accompagne une cinquantaine de mètres. Veut pas que je parte, le bougre! Dans la vallée, la route menant à Andorre est dégagée. J'ai bien fait de ne pas prendre cet itinéraire, coté Espagnol, hier. Car l'accès au Pas de la Case est impossible. Je me serais retrouver bloquer dans la principauté. Il est vrai qu'il y a Pierrot de l'hotel Mila à Encamp, mais bon j'y ai été pour le 11 novembre 2016. Tarascon sur Ariège, Foix, Pamiers, Mirepoix, Fanjeaux. Je reprends l'autoroute à Carcassonne. Un arrêt afin d'admirer une dernière fois la citée avec la Montagne Noire en toile de fond. Narbonne, Béziers, Montpellier, Nîmes, le géant de Provence  (le Mont Ventoux) aux domes enneigées domine la vallée du Rhône. Orange, Montélimar, pas d'arrêt nougat, Valence, Vienne et la capitale des gaules: Lyon. Météo France avait annoncer le Mistral dans la vallée du fleuve roi, cela ne m'a pas gêner. La traversée de la métropole se déroule sans anicroche malgré l'heure avancée (16H30). Les monts du Beaujolais pointent leur museau à l'horizon. Enfin le péage de limas, village qui accepte vos oboles depuis le moyen âge. Il est 17 heures quand je pénètre dans la demeure à Mémé!
 

CONCLUSION:
         " LA LEYENDA CONTINUA" est un beau rassemblement. Plus confidentiel que " LES PINGOUINOS" mais aussi attrayant et surtout plus abordable question circulation. Nous étions quand même 7000 inscrits. Il est vrai que ce n'est rien par rapport aux 27000 de l'ancien rassemblement.
          Aux dernières nouvelles, ce serait suite à une discorde au sein du moto club que la ville de Valladolid aurait récupérer le nom "PINGOUINOS" pourtant marque déposé. Une partie des élus Espagnols seraient t'ils des voyous comme en France? La question est posée.
          Enfin, moi je me suis bien amuser en compagnie de mes amis, grands routards devant l'éternel.
          Encore une belle virée de quelques 2300 bornes à rajouter au tableau de chasse!

 
                                                                                                             

                                                                                                                      
 
                                                       



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